Il me semble tout simplement que le monde est devenu inquiétant par le déploiement et le dévoiement de l'information. Et des milliers d'autres choses que le matérialisme a généré, la disparition de Dieu, du silence, de la quiétude familiale, du travail durable, de la proximité de la nature et même, au risque de déplaire, de l'effondrement du patriarcat. En tout dernier, la violence technologique du progrès bien-sûr qui est dénoncé par Boèce dès l'invention de l'imprimerie car dès lors cela permet à n'importe quel idiot assez riche de faire éditer ses âneries. Ce qu'on reproche encore aujourd'hui aux réseaux sociaux, la richesse en moins.