- 22/12/2025 à 21:47
Bonjour, Une foi de plus LSDJ montre un piètre travail de journalisme qui ne contrôle pas ses sources et avance des affirmations pour le moins partisanes, généralement contre le gouvernement. Cà ne fera pas le buzz mais relègue LSDJ au rang de "tabloïd". Ce n'est surement pas comme ça que LSDJ gagnera notoriété et audience. De grâce virez vos scribouillards, sélectionnez vos journalistes et éditoriaux sur la base de réels diplômes professionnels. Bien cordialement, Gilles
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Réponse de l'auteur - 22/12/2025 à 23:31
Bonsoir, merci pour votre commentaire. C’est la première fois, depuis que j’écris pour LSDJ, que je reçois un retour de cette nature. Il est donc, à ce titre, intéressant. Même si j’ai du mal à identifier précisément ce qui relèverait, selon vous, d’un défaut de sources ou d’un parti pris. L’article s’appuie sur des documents européens officiels, accessibles publiquement, qui établissent deux éléments factuels : - la stratégie française d’abattage systématique est singulière au sein de l’UE dans le cadre précis de la DNC bovine ; - cette stratégie n’est pas imposée juridiquement par l’UE, mais résulte d’un choix national, proposé par la France et validé comme tel. Lorsque l’article évoque l’idée selon laquelle un pouvoir centralisé favoriserait de facto des modèles agricoles intensifs et intégrés, au détriment de l’agriculture paysanne, il s’agit de propos largement exprimés par les agriculteurs, syndicats et acteurs de terrain. Ils sont présentés comme tels, et ne constituent pas nécessairement ma position personnelle, mais un fait observable qu’il est difficile d’ignorer. Constater qu’une politique publique est unique, qu’elle suscite une opposition massive et transversale, et qu’elle ne repose pas sur un consensus scientifique empirique clairement démontré, ne relève ni du militantisme ni d’une posture “anti-gouvernementale”. Enfin, le ton de votre message apparaît sensiblement plus offensif que celui de l’article dont l'objectif principal n’était pas de trancher doctrinalement le débat sanitaire, mais de documenter un fait politique et social observable, à savoir la nature et l’ampleur des réactions suscitées par cette crise. Il s’agissait d’analyser les prises de position médiatiques, institutionnelles et numériques, ainsi que la convergence d’acteurs habituellement opposés, phénomène suffisamment rare pour mériter d’être décrit et interrogé. Je reste bien entendu ouvert au débat. Si vous souhaitez préciser quelles affirmations vous jugez inexactes, quelles sources seraient ignorées, ou où se situerait selon vous une erreur d’analyse, n’hésitez pas à les exposer de manière plus étayée. Bien cordialement.
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Anonyme - 22/12/2025 à 23:50
@Auteur Un grand merci pour votre travail de grande qualité qui est le fruit d'une synthèse précieuse ! Je suis surpris est attristé de voir de tels propos de la part de la personne signant Gilles. Merci de consacrer votre temps à quelques jours de Noël, pour nous informer de ce mouvement trans partisan qui témoigne de la volonté farouche de ces hommes et femmes afin de continuer à exercer dignement leur travail. Ils méritent tout notre soutien et notre respect, merci pour votre article !
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Anonyme - 22/12/2025 à 23:50
@Auteur Un grand merci pour votre travail de grande qualité qui est le fruit d'une synthèse précieuse ! Je suis surpris est attristé de voir de tels propos de la part de la personne signant Gilles. Merci de consacrer votre temps à quelques jours de Noël, pour nous informer de ce mouvement trans partisan qui témoigne de la volonté farouche de ces hommes et femmes afin de continuer à exercer dignement leur travail. Ils méritent tout notre soutien et notre respect, merci pour votre article !
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- 22/12/2025 à 21:47
Bonjour, Une foi de plus LSDJ montre un piètre travail de journalisme qui ne contrôle pas ses sources et avance des affirmations pour le moins partisanes, généralement contre le gouvernement. Cà ne fera pas le buzz mais relègue LSDJ au rang de "tabloïd". Ce n'est surement pas comme ça que LSDJ gagnera notoriété et audience. De grâce virez vos scribouillards, sélectionnez vos journalistes et éditoriaux sur la base de réels diplômes professionnels. Bien cordialement, Gilles
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Robert - 22/12/2025 à 23:31
Ignoriez-vous seulement la couleur politique des écoles délivrant des diplômes professionnels de journalisme en France ? Toutes métastasées par l'idéologie gauchiste. Alors, vous pourriez vous autoriser à un peu plus de retenue dans vos propos destinés à défendre ce gouvernement indéfendable.
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- 22/12/2025 à 21:26
En effet comme signalé précédemment,d’autres pays de l’Union européenne ont eu recours à l’abattage systématiques des animaux malades ou au contacts de malades L’Italie notamment en Sardaigne et l’Espagne qui ont eu des foyers de cette maladie
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Réponse de l'auteur - 22/12/2025 à 23:15
Bonsoir, merci pour votre commentaire et pour la lecture. Oui, d’autres pays de l’UE ont eu recours à l’abattage, mais pas de la même manière. Dans le cas spécifique de la DNC bovine, les États concernés ont appliqué des abattages ciblés (animaux malades ou contacts), combinés à des mesures de zonage et de vaccination notamment. La France est aujourd’hui le seul pays à avoir retenu l’abattage systématique de troupeaux entiers, y compris d’animaux sains, ce qui constitue le cœur de la controverse.
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- 22/12/2025 à 20:44
La doctrine d'abattage systématique n'est pas unique, comme vous dites, dans l'UE. En Grèce, c'est les ovins que l'on massacre massivement (même les animaux parfaitement sains) sous prétexte, cette fois, de la variole, bien qu'il y ait un vaccin pour cette maladie (non contagieuse du reste pour les humains)...
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Réponse de l'auteur - 22/12/2025 à 23:17
Bonsoir, merci pour votre contribution. La comparaison que vous évoquez concerne d’autres maladies (variole ovine, fièvre aphteuse, grippe aviaire), dont la contagiosité, la dynamique épidémiologique et les enjeux sanitaires sont différents. Dans le cadre précis de la DNC bovine (maladie non transmissible à l'homme et à mortalité faible) la stratégie française demeure une exception au sein de l’UE. Il s’agit d’un choix politique et administratif, validé par les instances européennes mais non imposé juridiquement.
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